Lexical - J'ai mal au monde
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"Faites l'Amour, pas la Guerre” : belle idée, triste chimère
L'harmonie, une rêverie que les plus bienveillants chinèrent
Au lieu de s'entraider sans attendre le moindre ci-mer
On préfère s'entretuer jusqu'à surpeupler tous les cimetières
On décime terres et familles, fait couler le sang et les larmes
Met tout en cendres et les armes mènent à de militaires infamies
Seule la mort nous rassemble tous, nos cœurs vivent une ère de faillite
Dans la misère, on se ressemble tous, on a comme un air de famine
Est-ce le parterre qui fait mine de ne pas voir ce qui se passe sur la scène
Ou les nerfs qui faiblissent devant ses massacres à la chaîne?
Peu importe la vie des autres, on ne sait que penser à la sienne!
A cheval sur l'égoïsme, on ne fait que s'accrocher à la selle
Pour ne plus s'approcher des linceuls
On raccroche aux appels à l'aide, face à nos destins, seuls
On se détruit à en perdre haleine, passant du déclin le seuil
Déversant à la pelle la haine. Tout le monde a ce putain de seum…
Pendant que le temps défile, j'ai mal au monde
Que les saisons s'effilent, j'ai mal au monde
Je sens que les cœurs se vident, j'ai mal au monde
Je pense qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Alors que le temps s'effile, j'ai mal au monde
Que les saisons défilent, j'ai mal au monde
Je crois qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Je le vois que nos cœurs se vident, j'ai mal au monde
Pleins de problèmes, peu de solutions tombées dans des oreilles de sourds
On fait semblant de ne rien savoir comme l'éveil d'un sommeil de saoul
Occupation, corruption, réunions au sommet de fous
On ne veut voir que les nuages, qu'importe le soleil dessous
On ne soucie que des sous, l'avarice est artérielle
Nos priorités sont telles que le bien est devenu matériel
Qu’il est dur de s’en sortir lorsque, depuis la maternelle
L'égalité des chances n’est que le résultat de maths aryennes
La raison n'est pas terrienne, nos existences sont galériennes
On écrit salement l'Histoire, les fautes de frappes sont aériennes
Nos espoirs sur liste noire, il n'y aura plus de marche arrière
À force de tout anéantir par les plus lâches manières
On s’moque du qu’en-dira-t-on, riant de ce qui n’est pas drôle
Certaines choses sont bonnes à dire mais on ne dit que de belles paroles
On prend son pied à s’abhorrer, se force à s'aimer par viol
Vit dans un réseau social comptant un conflit par "LOL"
Pendant que le temps défile, j'ai mal au monde
Que les saisons s'effilent, j'ai mal au monde
Je sens que les cœurs se vident, j'ai mal au monde
Je pense qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Alors que le temps s'effile, j'ai mal au monde
Que les saisons défilent, j'ai mal au monde
Je crois qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Je le vois que nos cœurs se vident, j'ai mal au monde
L'harmonie, une rêverie que les plus bienveillants chinèrent
Au lieu de s'entraider sans attendre le moindre ci-mer
On préfère s'entretuer jusqu'à surpeupler tous les cimetières
On décime terres et familles, fait couler le sang et les larmes
Met tout en cendres et les armes mènent à de militaires infamies
Seule la mort nous rassemble tous, nos cœurs vivent une ère de faillite
Dans la misère, on se ressemble tous, on a comme un air de famine
Est-ce le parterre qui fait mine de ne pas voir ce qui se passe sur la scène
Ou les nerfs qui faiblissent devant ses massacres à la chaîne?
Peu importe la vie des autres, on ne sait que penser à la sienne!
A cheval sur l'égoïsme, on ne fait que s'accrocher à la selle
Pour ne plus s'approcher des linceuls
On raccroche aux appels à l'aide, face à nos destins, seuls
On se détruit à en perdre haleine, passant du déclin le seuil
Déversant à la pelle la haine. Tout le monde a ce putain de seum…
Pendant que le temps défile, j'ai mal au monde
Que les saisons s'effilent, j'ai mal au monde
Je sens que les cœurs se vident, j'ai mal au monde
Je pense qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Alors que le temps s'effile, j'ai mal au monde
Que les saisons défilent, j'ai mal au monde
Je crois qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Je le vois que nos cœurs se vident, j'ai mal au monde
Pleins de problèmes, peu de solutions tombées dans des oreilles de sourds
On fait semblant de ne rien savoir comme l'éveil d'un sommeil de saoul
Occupation, corruption, réunions au sommet de fous
On ne veut voir que les nuages, qu'importe le soleil dessous
On ne soucie que des sous, l'avarice est artérielle
Nos priorités sont telles que le bien est devenu matériel
Qu’il est dur de s’en sortir lorsque, depuis la maternelle
L'égalité des chances n’est que le résultat de maths aryennes
La raison n'est pas terrienne, nos existences sont galériennes
On écrit salement l'Histoire, les fautes de frappes sont aériennes
Nos espoirs sur liste noire, il n'y aura plus de marche arrière
À force de tout anéantir par les plus lâches manières
On s’moque du qu’en-dira-t-on, riant de ce qui n’est pas drôle
Certaines choses sont bonnes à dire mais on ne dit que de belles paroles
On prend son pied à s’abhorrer, se force à s'aimer par viol
Vit dans un réseau social comptant un conflit par "LOL"
Pendant que le temps défile, j'ai mal au monde
Que les saisons s'effilent, j'ai mal au monde
Je sens que les cœurs se vident, j'ai mal au monde
Je pense qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Alors que le temps s'effile, j'ai mal au monde
Que les saisons défilent, j'ai mal au monde
Je crois qu'on perd le fil, j'ai mal au monde
Je le vois que nos cœurs se vident, j'ai mal au monde
